QUI SUIS-JE ?

Martine Leporcher, Lectrice publique
Martine Leporcher, Lectrice publique

Qui suis-je ? ou le parcours de Martine Leporcher, lectrice publique

Le Son Littéraire,  dont l’objet est la lecture à haute voix, est représenté par Martine Leporcher, lectrice publique.

Des lectures à voix haute sont proposées sous toutes ses formes,  présentées en tous lieux (centres sociaux, bibliothèques, écoles, théâtres, salles de spectacles…), auprès de tous publics.

Les lectures se réalisent à partir de textes classiques et/ou contemporains.

Martine Leporcher

Mon parcours

La lecture à haute voix

Mon premier contact avec la lecture à voix haute remonte à la fin des années 80. J’ai commencé par lire des poèmes sur les ondes d’une petite radio locale normande. Ainsi est né mon goût pour la lecture à voix haute. Malgré les répétitions, la qualité de mes productions n’était pas au rendez-vous et cela me chagrinait. Alors, je me suis mise en quête de formations. Mon arrivée en terre lyonnaise, quelques années plus tard, m’en a alors donné l’opportunité.

Ma formation

Je me suis formée à l’art du conte et à la lecture à voix haute pendant 8 ans, auprès d’ Alex Jaspard. En parallèle, j’ai suivi un enseignement sur les techniques vocales auprès du Roy Harts Théâtre durant 5 ans. Puis, j’ai complété mes connaissances par d’autres approches, celles de Valérie Delbore des « Mots Parleurs », de Bernard Enghel des « Livreurs Sonores », du “CREFADLYON” avec Claire Terral, de Laurence Cernon de “l’orchestre de lectrices”.

Afin de parfaire ma formation, j’ai participé à quelques pièces, comme comédienne, dans une compagnie théâtrale.

L’insertion socioprofessionnelle

Pendant toutes ces années, j’ai exercé parallèlement la fonction de chargée d’insertion socioprofessionnelle auprès d’un public adulte. Ce public dont la maîtrise du français est insuffisante,  est aussi issu ou non de l’immigration. Souvent confronté à des difficultés d’illettrisme, d’analphabétisme, il est, de plus et de ce fait, isolé des actions culturelles classiques. L’apprentissage du français est une nécessité. La pratique de la lecture à voix haute me paraît être une complémentarité des plus pertinentes. J’en suis intimement convaincue.  C’est pourquoi, j’ai décidé d’allier ma double compétence et de la mettre au service de personnes en difficultés langagières. Depuis 2016, j’interviens chaque semaine dans un atelier socio linguistique (A.S.L). En collaboration avec l’animatrice, j’ai donc fait le pari d’articuler art et apprentissage de la langue française.